Sous le métro, la plage !

SOUS LE MÉTRO, LA PLAGE ! de Thierry Brayer

 

Sous le métro, la plage !
Thierry BRAYER

Présentation

Métro, égouts, carrière et catacombes de Paris à visiter dans un polar !

Combien de mondes parallèles existe-t-il ? Laurent en connaît au moins trois : sa vie de tous les jours qui ne le passionne pas vraiment ; DIALEETIC, un réseau de rencontres par Minitel et celui non moins surprenant des entrailles de Paris.
À partir de réels souvenirs de 1985, Thierry Brayer nous relate les trois vies en une de Laurent. Laquelle va prendre le pas sur les autres ? Et surtout, qui va gagner : Sabine, Agnès ou Philibert ?

Une intrigue comme un polar aussi sombre que les catacombes de Paris. La lumière sera-t-elle au bout des tunnels ?


Avec des illustrations originales d’Éva Morana-Jourdain
et une préface de l’historien des catacombes et des carrières de Paris Gilles Thomas

SOUS LE METRO LA PLAGE

244 pages – 15×21 – ISBN 9782322017454

(Ancien titre : Net Mergitur)

 

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Préface


Préface de Gilles Thomas, historien des catacombes et des souterrains de Paris


Le monde souterrain est un univers à part, dont les ombres et les mystères n’ont jamais cessé d’exciter les curiosités comme de favoriser la propagation de légendes. Paris n’échappe pas à la règle, d’autant plus que de savoir qu’il existe des galeries qui circulent sous la capitale ne peut qu’amplifier le phénomène et exacerber la curiosité : la ville-lumière par excellence recèlerait une part d’ombre non pas insoupçonnée, mais mal connue ?

Plus prosaïquement, sous Paris, à partir de la fin du xviiie siècle, s’est développé un réseau de galeries créé pour connecter entre elles les différentes exploitations souterraines autrefois sous la campagne environnant la ville, mais devenues parisiennes suite au développement de l’urbanisation. Ces galeries sont en fait le résultat des travaux de consolidation entrepris par l’Inspection des carrières fondée le 4 avril 1777. Comme elle s’ingénia à consolider les voies publiques en faisant édifier de puissants massifs de maçonnerie à l’aplomb des façades des maisons, et que celles-ci ont une fâcheuse tendance à être relativement alignées les unes à côté des autres dans ce qui s’appelle des rues, il en résulta l’établissement d’une doublure topographique souterraine du Paris de l’époque.

Or les souterrains ont toujours fasciné l’homme comme par réflexe atavique, mais avec ce paradoxe d’attraction / répulsion qui est le propre de ce qui est caché sous la surface du sol : on aimerait y aller voir pour satisfaire une curiosité que certains qualifieraient de malsaine, tout en n’osant pas forcément faire le pas qui s’impose, ne sachant ce qui se cacherait au-delà de l’obscurité que l’on y perçoit. Cette fréquentation des anciennes carrières souterraines de la capitale, que par un raccourci simplificateur l’on désigne plus couramment par le simple mot de carrières, remplacé par un usage excessif et abusif du terme « catacombes », raccourci en Catas, voir Ktas, n’est pas un phénomène récent comme l’on va voir.

Aussi loin que remonte l’existence de carrières sous Paris au sens large, de telles légendes circulèrent. Ainsi vers l’an mil, au niveau de l’actuel jardin du Luxembourg (Ve arrondissement), se trouvait le château de Robert II dit le Pieux. Cette construction était située dans une vallée de verdure, un « val vert », à l’époque hors les murs de l’ancien Paris. Au début du xiiie siècle, ce château à l’abandon fut investi par une population marginale de vagabonds et de malfaiteurs qui en firent leur repaire. Ils attaquaient les voyageurs qui passaient sur la route d’Orléans située à proximité et le soir venu, se rassemblaient dans les ruines du château pour y partager leur butin et s’y reposer. La silhouette fantastique des ruines déformée par la lueur des feux, les voix qui y étaient parfois entendues et la réputation de ce lieu devenu malfamé suffirent à créer une réputation définitivement négative au site : on pensait qu’il était désormais hanté par le diable et habité par des fantômes d’où l’expression « aller au diable Vauvert » et ses dérivés. Lorsque les Chartreux prirent possession du lieu, ils s’engagèrent à en chasser les démons. La légende veut qu’ils combattirent trois jours et trois nuits sans discontinuer, au milieu d’un tonnerre assourdissant, de fumées et d’un « brouillard noir et puant » avant de mettre Satan en déroute. Ces aventures diaboliques furent néanmoins promises plus tard à une certaine popularité puisque Gérard de Nerval, dans ses Contes et facéties parus en 1852, raconte l’histoire d’un monstre vert qui circule dans les ruines de Vauvert, au « Château du Diable » ! Ce qu’évoque aussi Vassilis « Basile » Alexakis dans son prochain roman[1] à paraître chez Stock.

Quelques siècles plus tard, le duc d’Orléans passait également lui-même à la fin du xviie siècle des nuits entières dans les carrières de Vanves et de Clamart (deux communes limitrophes de Paris) à invoquer et à appeler le Diable. Sans promettre le diable, ni chercher à le montrer – comme le firent pour des Parisiens intrépides, crédules et acceptant de payer monnaie sonnante et trébuchante, aux xviie et xviiie siècles, successivement un dénommé César à partir d’une carrière à ciel ouvert appelée la Fosse aux Lions (près de l’actuel asile psychiatrique Sainte-Anne) puis un sieur Delafosse dans les carrières à plâtre de Montmartre – le portier de l’Observatoire de Paris (le « premier du monde »… civilisé) continuait d’exploiter la naïveté de nombreux visiteurs en profitant de leurs bourses, ce que nous narre Louis-Sébastien Mercier dans son Tableau de Paris : « Curieux de visiter ces carrières abandonnées, je suis descendu par les caves de l’Observatoire. Jadis un portier hâbleur vous faisait voyager pendant deux heures dans une espèce de labyrinthe, sous l’enceinte de l’Observatoire seulement, et vous persuadait faussement que vous étiez sous telle ou telle rue. Dans un endroit où il se forme des stalactites, il criait aux crédules Parisiens : “Vous voilà sous la rivière de Seine”. Il gagnait de l’argent par cet impudent charlatanisme. Tels étrangers ont cru avoir passé sous la rivière, qui n’avaient pas quitté les caves de l’Observatoire… »

C’est cette même Seine qui va jouer finalement un rôle clef dans ce roman de Cécile 2211, un cataphile qui va nous entraîner à la poursuite de la recherche à la fois de son âme sœur et d’un accès à la « Mecque » des réseaux souterrains : les galeries de servitude au niveau des anciennes carrières, ces racines géologiques des monuments emblématiques de la ville-capitale que sont les fameuses « catacombes de Paris ». « Cataphile », voici un drôle de mot lâché, une néonymie apparue au tout début des années 80 (et véhiculée par l’étude de Barbara Glowczewski[2] publiée en 1983) avec le même succès que le mésusage pour Paris du vocable « Catacombes » en 1782 par simple analogie avec celles de Rome[3].

Autant ce terme de « Catacombes » a tout de suite été adopté par la population et détourné de l’usage restrictif pour lequel il avait été pensé[4] tellement le choix s’est révélé judicieux (de nos jours on parlerait d’une trouvaille marketing incommensurable et on encenserait la société chargée de la création de néonymes ou sigles qui aurait été payée pour le trouver), de même pour celui de « Cataphile ». Aussi en 1985 une autre déclinaison du mot apparut sous la plume de Jacques Chabert alors président du SpéléoClub de Paris, pour désigner ceux qui commençaient à dégrader ce patrimoine souterrain non pris en considération par l’administration [5] ; il les désigna sous le vocable de « cataclastes ». Mais ce nouveau terme ne fut jamais repris par les journalistes, « Cataphile » ayant eu le même succès indétrônable que « Catacombes » ; pourtant le verbe grec philein signifie indubitablement aimer, et en principe qui aime respecte. En revanche, si le mot est tout récent, trente ans comme la plupart d’entre nous, la chose[6], elle, remonte aux prémices de l’Inspection des carrières. Le 9 mai 1777 (soit un mois après la création de ce service) un dénommé Dupont, qui n’était pas n’importe qui[7], écrivait : « Nous avons des gens qui viennent la nuit et les fêtes dans nos carrières. Ils nous débouchent les puits. J’ai le nom de trois et la demeure de deux que je viens de donner à M. le lieutenant de police ». Ce qui est, reconnaissons-le, un inconvénient moindre que ceux, déjà d’actualité en cette fin xviiie, « qui peuvent résulter d’un asile impénétrable et toujours ouvert à cette multitude de malfaiteurs inséparables d’une capitale immense et des réserves que pourraient présenter ces cavernes à des mutins qui seraient tentés de s’y réfugier, pour s’y maintenir dans une indépendance funeste à leurs concitoyens », lit-on dans le « Premier Mémoire manuscrit de Guillaumot », datant de janvier 1777.

Mais ce n’est pas parce qu’une habitude ancienne est tolérée qu’elle en est pour autant légale. Elle devint même parfaitement répréhensible à partir de novembre 1955. Qui sait d’ailleurs que cette législation empêchant d’aller impunément sous Paris date de la guerre d’Algérie ? Le 3 avril de cette année-là, devant l’évolution des « événements » et de la situation, une loi fut prise permettant aux préfets de recourir au couvre-feu s’ils l’estimaient nécessaire ou plus exactement, son article 5 donnait pouvoir aux préfets d’interdire la circulation des personnes ou des véhicules dans les lieux et aux heures fixés par arrêté, ce qui peut s’apparenter à un couvre-feu même si le terme n’apparaît pas dans le texte. D’où en conséquence l’arrêté du 2 novembre 1955 qui interdit à toute personne de pénétrer et circuler dans les anciennes carrières souterraines de Paris sans autorisation. Et n’est-il pas amusant de réaliser que c’est depuis le 2 novembre (« jour des morts » et donc lendemain de la Toussaint), qu’un arrêté jamais aboli interdit de pénétrer sans autorisation dans les « catacombes », extension de l’« empire de la mort » ?

Par ce livre nous n’assistons donc pas à la naissance d’un phénomène, un épi-phénomène il est vrai à l’échelle des bouleversements de la planète… quoique… mais à l’écriture de ses plus belles pages. C’est en effet au tout début des années 80 que concomitamment la police et les médias s’intéressèrent à cette population « étrange et pénétrante », ce microcosme que certains appellent le catacosme, puisque sous Paris tout est Cataquelquechose : une catafille, un cataflic, une catastar, une catalampe, un cataposte, un catatract, etc. Le ministère de la Culture comme on l’a vu via le mémoire de Barbara Glowczewski voulut également y aller voir. C’est aussi à cette même époque, ce qui ne nous rajeunit pas, que Jacques Chirac alors maire de Paris voulut essayer de « normaliser » la fréquentation et qu’en découla la création de la FPAC (Fédération pour la protection des anciennes carrières souterraines), union d’associations qui devait devenir son interlocuteur unique pour toute demande officielle concernant les sous-sols catacombesques de la ville. C’est aussi de ces années-là que date le fameux « Sous Paris ça grouille », dossier inégalé pour la presse franco-française (Cocorico !) dû à la pertinence de John-Paul et Leslie Lepers dans L’Écho des Savanes ; on note également à la même époque l’article du Figaro magazine titré « Les étranges nuits de Paris à 35 mètres sous terre », dont les photos étaient signées d’un certain YAB qui n’était pas encore allé voir sous d’autres cieux plus aériens et plus rémunérateurs, dans lesquels il gagna ses titres de noblesse (eh oui, je parle bien de Yann Arthus Bertrand).À cette époque le commandant de police honoraire Jean-Claude Saratte, préfacier du livre de Gaspard Duval[8], créa l’ÉRIC (Équipe de Recherche et d’Intervention en Carrières) afin de joindre l’utile à l’agréable : continuer de circuler sous Paris endroit – ou plutôt envers de la capitale – découvert avec son comparse Rousselet, un autre Jean-Claude, par passion pour la spéléologie, et être reconnu comme autorité de surveillance de ces lieux. Il fut un grand Monsieur des carrières, et termina en Seigneur. Les cataphiles ayant organisé le samedi 10 juin 2000 une manifestation souterraine comme il se doit pour le départ en retraite de J.-C. Saratte, celui-ci vint les saluer amicalement, ce que ne manqua pas de relever le journal Libération une semaine plus tard sous le titre Soirée d’adieux dans le ventre de Paris pour marquer ses « 21 ans de déambulations, 800 descentes et 5 000 km parcourus dans les 300 km de galeries souterraines de la capitale ». Bonne retraite et longue vie à toi Jean-Claude, tu es toujours la référence pour les médias sérieux et un modèle de policier inégalé jusqu’à présent ! Avec par avance toutes mes excuses pour la familiarité transparaissant dans cette dernière phrase interjective. C’était le temps de l’esprit Boy-Scout (comme le qualifia le commandant Saratte lors d’une de ses très nombreuses interviews), rejoignant en cela l’analyse de quelqu’un qui fut un précurseur sans le savoir et qui est toujours étonné de voir que son « modeste film de divertissement sans prétention aucune » est aussi le film de référence sur le sujet (comme Subway de Luc Besson le sera sur les univers insoupçonnés du métro) : Pierre Tchernia, auteur et réalisateur des Gaspards, tourné en 1973, soit quelques années auparavant.

Plongez-vous, plongeons-nous sans plus attendre dans les méandres souterrains et circonvolutions de l’esprit de Thierry Brayer qui raconte ici par le menu tout ce qui lui est arrivé au cours de deux années d’une fréquentation assidue des dessous de la ville. Il nous narre comment il chercha, non pas le passage mythique sous la Seine comme tous les cataphiles débutants alors, mais tout simplement comment parvenir à ouvrir cette boîte de pandore pour s’y glisser, boîte capable de vous avaler en entier pour ne plus jamais vous relâcher totalement : ne dit-on pas « Cataphile un jour, cataphile toujours ! » ? Pour vous accompagner dans cette lecture, il y a désormais diverses musiques outre celle des Gaspards (ou d’autres des années 80 qui bruissent dans le livre) que vous pouvez écouter. En cherchant bien sur le Net, vous en trouverez quelques-unes écrites par des cataphiles qui ont su capter les sensations et évoquer leurs souvenirs intimement liés à ces lieux souterrains. D’ailleurs Cécile 2211, le pseudonyme cataphile de notre auteur, n’a-t-il pas de rapport également avec la musique ? Et cette Salle de musique souterraine qui est, depuis, bien présente sur les plans cataphiles, n’est-elle pas la seule et unique trace « virtuelle » du passage de notre auteur sous Paris, preuve qu’il n’a pas totalement rêvé ses souvenirs ?

Dépêchons-nous de lire la chose avant que tout ne soit plus que du domaine du passé, comme le feu Minitel, fil rouge de ce roman et qui vient de rendre l’âme après avoir résisté dans une toute petite niche devant l’invasion inexorable de l’Internet… haut débit qui plus est !

Pour reprendre les paroles de Barthélémy Dumont par l’entremise d’Arlette Lebigre[9] : « Si cruels que soient ces souvenirs, ils sont trop précieux pour que je me résigne à les laisser disparaître avec moi. » Et ces faits, rédigés quelques dizaines d’années après les avoir vécus, j’espère qu’ils vous feront à vous aussi pour plus tard de jolis souvenirs, car la mémoire s’arrange parfois avec ce qui nous convient le mieux dans notre passé, le réécrivant à sa manière !

GILLES THOMAS


[1] De Vassilis Alexakis, je vous recommande tout particulièrement la lecture de Avant paru en 1992 aux éditions du Seuil, qui se passe intégralement sous le cimetière Montparnasse. Quant au prochain opus annoncé de cet auteur protéiforme, il se déroulera autour du jardin du Luxembourg à la fois dessus et dessous, à différentes époques.

[2] « La Cité des Cataphiles (mission anthropologique dans les souterrains de Paris) », par Barbara Glowczewski, et al. © Librairie des Méridiens (1983).

[3] Dès 1782, on trouvait dans les « magasins de nouveautés » un opuscule anonyme s’intitulant : Projet de catacombes pour la Ville de Paris, en adaptant à cet usage les carrières qui se trouvent tant dans son enceinte que dans ses
environs .

[4] Passant de l’Ossuaire municipal à l’ensemble des carrières de Paris, en liaison ou non avec cet ossuaire, jusqu’à atteindre les carrières de banlieue, voire de province (par exemple celles du Chemin des Dames), et ce dès l’origine.

[5] « Le combat des cataphiles contre les cataclastes », par Jacques Chabert in Spelunca (numéro daté de juillet 1985).

[6] Comme aurait dit l’Abbé de l’Attaignant qui ne savait dissocier les deux !

[7] Dans l’Almanach Dauphin ou Tablettes royales du vrai mérite des artistes célèbres du royaume et d’indication générale des Principaux Marchands, Banquiers, Négocians, Artistes & Fabricans des Six-Corps, Arts & Métiers de la Ville & Fauxbourgs de Paris, & autres Villes commerçantes du Royaume, &c. Présenté & dédié à Monseigneur le Dauphin, pour la première fois, en 1772 – Année 1777 , on lit à la rubrique Mathématiciens : Dupont, rue Neuve Saint-Médéric, Professeur de Mathématiques, tient chez lui cours de Géométrie, de Physique & de Dessin, & donne tous les dimanches matin des leçons gratuites aux pauvres ouvriers. En 1777, il avait été pressenti pour voir quel remède appliquer au mal des carrières dont souffrait Paris, ce dont il se targua par la suite : Les dimanches le matin j’instruis gratuitement six ouvriers voilà mes occupations depuis vingt ans sans sortir de la maison où je suis, n’oubliant pas de se qualifier d’Inspecteur général des carrières nommé par Sa Majesté et professeur de Mathématiques et de Physique – Rue Saint- Médéric.

[8] Auteur de ce superbe ouvrage que sont « Les Catacombes de Paris. Promenade interdite (Le côté obscur de la ville lumière », paru à la mi de ce si joli mois de mai 2011 chez Volum éditions. À la suite de l’incontournable chapitre historique consacré aux Histoires et légendes des carrières de Paris servant à planter le décor, s’ouvre une partie consacrée à la « cataphilie » présentant Les cataphiles, Les cataflics, évoquant L’atmosphère (qui émane des lieux), décrivant L’équipement du cataphile, racontant des Situations délicates ou l’Organisation d’une fête, parlant des Accès clandestins et des Us et Coutumes des habitués. Montrant en quelque sorte toutes les facettes de la même pièce de théâtre, Paris grâce à ces sous-sols ressemblant d’ailleurs aux tréteaux d’une scène qui aurait gardé figées sous ses jupons les traces de toutes
les pièces jouées précédemment.

[9] Avant-propos de « Moi, Barthélémy Dumont, geôlier de la Conciergerie », par Arlette Lebigre (© Perrin 2009).

Illustrations

Les illustrations d’Éva Morana-Jourdain

 

Divers

Les catacombes en 1980

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Autour des catacombes et du roman

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Dédicace

La dédicace sous terre en vidéo et en photos


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9782322017454

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